Publié par Guy Jovelin le 24 mai 2019
Une nouvelle alarmante nous vient de Suisse. Les écoliers musulmans exerceraient de telles pressions psychologiques sur leurs camarades de classe mécréants que ceux-ci observeraient eux aussi le ramadan. Les enfants suisses, trop gâtés, sans valeurs solides, se révèlent donc des proies faciles pour les « missionnaires » fondamentalistes de l’islam politique qui ont été formés à cela dès l’enfance.
« La pression du groupe fait aussi jeûner les élèves chrétiens : les élèves musulmans inciteraient les non-musulmans à jeûner également, déplorent des enseignants suisses. Cependant, l’association des enseignants ne voit toujours pas de nécessité d’agir. » Telle est l’information qu’on peut lire sur la plate-forme d’information autrichienne heute.at.
L’attention du journal a été attirée par une école primaire de la ville suisse de Winterthour, où la proportion d’enfants musulmans est « fort élevée », comme l’écrit Arlinda Dauti, enseignante, dans le bulletin du ZLV, l’association des enseignants du canton de Zurich.
« Dans ma dernière classe de 6e, j’ai remarqué que les élèves se motivaient mutuellement à jeûner. » Aux dire de l’enseignante, cela a conduit même des enfants non musulmans à arrêter de manger et de boire. En conséquence, beaucoup d’enfants étaient souvent très fatigués l’après-midi. « Dans les heures de sport également, j’ai dû tenir compte du fait que certains enfants n’avaient plus leurs capacités physiques habituelles », ajoute-t-elle.
Franziska Peterhans, secrétaire centrale de l’Association suisse des enseignantes et enseignants (LCH), a connaissance de faits semblables. « Peterhans a aussi entendu dire que même des élèves non musulmans ont été convaincus de jeûner », rapporte l’article de heute.at. Son conseil : « Les parents devraient s’adresser aux enseignants si leur enfant est victime de la pression du groupe. »
Beat W. Zemp, président de l’Association des enseignants, ne nie pas le problème de la pression des pairs musulmans, mais tempère. Pour lui, la pression du groupe lors du ramadan ne devient un problème que « si les élèves qui ne jeûnent pas sont mobbés. Si des élèves veulent jeûner pour des raisons religieuses, cela doit être respecté conformément à la Constitution fédérale. »
C’est sûr que la notion de mobbing est très élastique. Conclusion : l’islamisation et la soumission aux règles de la charia font leur chemin selon le plan.
Source en allemand : JournalistenWatch
Traduction Cenator
La nouvelle a aussi paru en Suisse (alémanique) : 20min.ch